Ce spectacle s’inscrit dans le temps fort de février « En attendant… le 8 mars », qui retrace des parcours féminins, en questionnant des chemins de vie et des explorations artistiques. La femme raconte et se raconte en travaillant une matière originale pour générer un discours artistique, « politique » et poétique. Ainsi, les messages sont partagés sous toutes les facettes de la parole prise et donnée. Pour connaître toute la programmation de « En attendant… le 8  mars », rendez vous sur cette page.

L’amour entre Tristan et Yseult est un érotisme sombre et saturnien où aimer est amer car l’amour conduit à la mélancolie. Et la mélancolie confine à une aliénation que le poison des mots rend mortelle. En définitive, l’amour tristanien est si exclusif qu’on en vient à se demander s’il n’est pas surtout un amour de l’amour. Et cependant, quelle meilleure définition de l’individu pourrait-on donner sinon un être pour l’amour ?

Exploration théâtrale du mythe de l’amour impossible, cette pièce marionnettique et musicale, sorte de rhapsodie de poche pour une comédienne-marionnettiste-chanteuse, emprunte les chemins dédaléens et forestiers de l’ancienne légende celtique de Tristan et Iseut, prétexte à une mise en lumière des manifestations de l’érotisme dans le langage.

Attendez-vous ainsi à pénétrer au cœur d’un dispositif scénique sobre et minimaliste où se déploie un bestiaire poétique riche en subterfuges et métamorphoses.

De et par Elodie Brochier (conception, texte, mise en scène, interprétation, jeu et réalisation des marionnettes, composition et interprétation des chansons, accordéon, petites percussions).

Samedi 17 février à 20h30

Tarifs : 10€ / 7€ / 4€

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